Ballade nocturne

Personne, en effet, n'y penserait. Sauf Alexia, durant sa ronde pour voir si les élèves ne se dévergondent - perverse? qui ça? oO - pas dès le début de l'école. Après avoir regardé les toits, les couloirs, les salles de classe et l'extérieur, il ne manquait plus que la forêt. En voyant la silouhette de Kotei, elle eut d'abord un peu peur.

*C'est glauque...*

En s'approchant, elle reconnut à peu près l'homme présent grâce au Daï-katana. Elle posa sa batte sur son épaule et sourit.

"Bonsoir, monsieur Mazoku. Belle nuit, n'est-ce pas?"

Elle rit un peu. Vraiment mignon, cet homme... Pour une fois que la directrice avait bon goût!

Kotei ne bougea pas d'un poil. Il resta soïque jusqu'au moment où il esquissa un infime sourire sur son visage. Mais ce n'était pas un sourire plaisant, bien au contraire. Comme une sorte de mimique qui vous ferait passer pour un ténebreux, voire pour un fou. D'une main discrète, il commenca à caresser, du bout de ses doigts, la lame de son Daikatana. Puis sans lever la tête, il ouvrit les yeux, possédant ce regard toujours aussi vide.

"Je me demande ce que vous pouvez bien faire là... Si je me souviens bien, vous devrez être occupée ailleurs, à faire des rondes, par exemple." répondit-il d'un ton affreusement glacial. Mais étrangement, il leva la tête, puis, de ses yeux rouges grands ouverts, il fixa avec précision les yeux de la concierge. "Mais je dois avouer que vous avez raison sur un point, c'est une nuit magnifique que nous avons là, effectivement." Puis il continua de fixer intensément la femme qui se trouvait en face de lui, à quelques pas de là.

Son temps de réaction et son sourire firent frissonner Alexia, mais elle se perdit pas sa bonne humeur. Il en faudrait plus pour l'impressionner, quand même.

*Intéressant, ce type. Je l'aime bien.*

"Je termine toujours mes rondes ici, le soir. On ne sait jamais, des élèves peuvent décider de venir."

Il la regardait dans les yeux. Cela la destabilisait un peu, car elle voyait son regard vide, et elle se démandait la raison de ce néant. Elle continua cependant, s'accrochant au désir de s'approcher du personnel enseignant.

"Vous aimez ce coin? J'y viens de temps en temps, quand j'ai besoin de fuir la directrice, les professeurs ou les problèmes liés au métier."


[Z'aime cro ton personnage x)]

Kotei leva son visage au ciel étoilé, comme fixant un point précis. Puis instantanément, ses yeux redevinrent à peu près normal, comme si un cadavre avait l'air de reprendre tout à coup vie. Sa tête de repencha en avant, lentement. Du bout de ses doigts, il toucha à présent le manche du Daikatana, un peu ayant l'air de chérir une personne, sauf que ce n'était qu'un objet. Un objet... non. Un allié, serait le mot juste. Puis son esprit commenca à s'agitait. Il avait déjà "testé" une personne aujourd'hui... Devait-il recommencer, Sauf que cette fois-ci, il était face à une adulte. Les adultes étaient moins corruptibles que les jeunes, car ces-derniers manquaient d'expérience. Kotei trancha les pensées qui voguaient dans sa tête et décida pour une fois de laisser le destin décider de ses propres agissements, chose presque exceptionelle, car notre homme avait l'habitude de planifier, planifier et re-planifier toutes les situations. Comme s'il avait été extrèemement fatigué, il se leva, une main appuyé contre l'arbre, et l'autre main qui prenait son arme. Un fois complètement debout, tenant toujours son arme à la main - peut-être avait-il oublié de penser à la ranger - il esquissa un de ses sourires de folie, et regarda d'un air assez étrange la concierge.

"Je me demande si cela vous prend souvent de déranger les gens quand bon vous semble et de faire comme bon vous semble... surtout en pleine nuit." A la fin de sa tirade, il esquissa un sourire plus grand qui s'évapora bien vite. Il avait maintenant adopté un ton assez neutre, chose extrèmement rare à entendre. C'était plus une remarque qu'une question, et elle avait pour but de donner à son interlocuteur un sentiment qu'il n'était carrément pas du tout la bienvenue.

"Vous êtes bizarre."

Et Alexia demeura mal à l'aise. En effet, cette remarque la plongea dans l'embarras. Elle rougit, puis fit à son tour sa remarque :

"Vous êtes franchement désagréable, j'ai cru que vous vouliez que je vous laisse tout seul pour de bon."

*Non mais, pour qui il se prend, ce type!*

"Si vous ne voulez pas que je vous parle, autant le dire. Je m'excuserais sans doute et je partirais peut être."

*A tous les coups, il va m'envoyer chier. Héhé, ça commence, le test, mon grand! On va voir si tu es vraiment intéressant.*

[Z'adooooreuh x)]

Le visage de notre homme resta stoïque face aux remarques, mais les pensées, elles, cogitèrent dans sa tête. Et c'était la premiere fois que Kotei pensait qu'une personne avait du cran. Une personne banale aurait déjà abandonné et serait déjà partie, détestant cet individu à l'esprit infâme qu'est Kotei. Mais pas là, chose que le professeur trouva très étrange. Ce qui signifiait que la personne en face de lui possédait un caractère hors du commun, et donc, qu'il fallait manipuler ses mots avec délicatesse. Un jeu que Kotei arborait tout particulièrement. Mais il préfrait employer une autre méthode, une méthode plus... radicale.

"Vous feriez mieux de ne pas jouer à la plus maligne avec moi.", entama-t-il d'un ton assez ténébreux, et son visage perdit tout sourire. Tout se dissipa, mis à part ses pensées les plus profondes de Kotei. Puis la main qui tenait son arme se contracta légèrement, puis il souleva légèrement son arme en hauteur, chose très difficile à faire avec un Daikatana... surtout tenu à une main. Kotei commenca à regarder la concierge avec ce même regard envoûtant et terrifiant qu'utilisé precedement avec la jeune élève, aux trois lacs. Un regard à glacer le sang qui serait même digne de Dracula en personne. Il pointa l'arme en direction de la concierge, la pointe de la lame qui ne passait pas tellement loin de son bras. "Après tout, je n'aimerai pas que quelque chose d'imprévu vous arrive...", continua-t-il sur un ton d'ironie assez glacial. Il n'avait pas pour habitude de pointer son arme envers des femmes, question de respect, mais il devait absolument vérifier quelque chose. Oh oui, le test avait déjà commencé depuis longtemps.

[Ca promet tout ca... Je re dans quelques instant.]

[Ouais ça promet^^ J'adore ta façon d'écrire x3]

Elle fut choquée par son audace. Elle prit sa batte et s'apprête à se défendre avec son élément de l'air. Si il est trop fort pour elle, elle compte l'aveugler avec un flash brusque et tenter de le tenir par les mains. Ca va être dur.

"Qu'est-ce qu'il vous arrive? De mauvaise humeur?"

Vraiment fâchée, et triste qu'un homme doive en venir à là pour exorciser sa colère, elle se demandait quoi faire. Si elle devait se battre, cela impliquerait dommages corporels et matériels. Comment expliquer cela? Il pourrait se faire renvoyer le travail à peine commencé.

*Le test ne devrait pas aller juste là.*

"Si vous devez vous défouler, essayez d'éviter les élèves ou le personnel. Cela pourrait vous attirer des problèmes."

[C'est bon? ]

Sa première réaction fut un sourire de contentement - chose encore plus rare qui voulait généralement dire deux choses. Il ne broncha même pas à la vue de la batte, il avait déjà vu des cas de combats bien plus grotesque que ca. Mais dans ce cas-ci, son sourire signifaiait plutôt une bonne chose... enfin, à peu de choses près, bien entendu. Ses yeux emplis de folie redevinrent normaux, comme si quelque chose d'ahurissant venait de se produire, et Kotei baissa son arme lentement, jusqu'a qu'une partie de la lame viennent heurter le sol. Puis il fixa la concierge d'un regard à prioris hautain, mais qui se voulait plutôt observateur et curieux.

"Ainsi, voici votre personalité... une simple âme qui ne demande qu'a vivre... Mais lutter ne suffira pas toujours pour vivre." se chuchota-t-il à lui-même avant de relever son arme, cette fois en usant des deux mains, le visage déformé par une expression a terrifier un mort-vivant. Puis qu'ayant son arme en main, ses sens du combat n'était pas réveillé, loin de là. Le test continuait encore... et c'était Kotei qui tirait maintenant les ficelles de la situation. Comme un marionetiste manipulant le destin celon ses propres envies, ses propres visions. Kotei était pret à donner un coup de Daikatana, toujours avec ce sourire de semi-contentement. Si la réaction fut celle qu'il attendait, le test serait fini. Mais dans le cas contraire... il n'hésiterait pas à employer d'autres moyens pour décomposer l'esprit de la future proie.

"Ouais ben au moins, j'aurais décidé de ne pas me laisser faire!"

Elle avait parfaitement entendu. Et elle ne voulait pas attendre qu'il attaque. Elle se servit de son flash devant les yeux, et força le vent à s'accélérer afin de faire perdre l'équilibre à Kotei. Elle allait essayer de le mettre à terre. Elle donna un coup de batte, aussi fort qu'elle pu, puis se baissa pour faire un croche patte. Elle espéra ne pas trop lui avoir fait mal - quoiqu'elle en doutait, vu que c'était un prof de survie, donc de combat. Elle n'était entraînée que pour des élèves. Pas des professeurs dûement diplômés!

"Arrêtez ce cinéma, professeur! Vous ne pourrez plus enseigner si vous continuez."

Normalement, il devrait être à terre. Normalement... Elle espérait plutôt. Elle ne voulait pas avoir fait du mal à cet homme. Même si il l'avait cherchée.

[Au dernier moment, j'ai voulut qu'elle ne se batte pas mais comme j'avais déjà fini le post, autant poster xD]

Au moment pile où il recu le coup de batte, ses sens du combat s'étaient éveillés; il ne pensait pas que la proie irrait jusqu'a donner le premier coup. Mais Cette surprise ne l'affecta pas tant que ca. Ayant recu le croche-patte, il tituba, mais avec agilité, se rattrapa avant de tomber. Puis son visage devint sérieux, tout à coup, alors qu'il venait d'entrer en phase de "combat", qui était un trop grand mot pour ce qui allait s'en suivre. Il n'avait même pas besoin d'activer ses pouvoirs élementaux, car il savait déjà l'issue de tout ceci. "Je crois qu'il faut lui rappeller qui est la marionette et le marionetiste dans cette histoire...", pensa t-il si fort qu'un sourire ténébreux s'esquissa sur son visage. Puis Kotei agissa avant qu'elle ne puisse contrer ses actions. Kotei se glissa alors sur le coté avec dextérité, puis se retourna vivement, se retrouvant dèrriere la femme. Puis il avait glissé la pointe de la lame de son Daikatana juste derrière le son cou... Alors qu'il ne l'avait pas encore touchée, elle était déja menacée.

"Je ne suis pas ici pour cause de vous tuer... détrompez-vous.", lui glissa-t-il doucement à l'oreille alors qu'il avait déjà retiré la pointe de son Daikatana. Etrangement, le visage de Kotei s'était un peu adouci, comme un ciel après une tempête. Un sourire malicieux, de semi-contentement, apparu légèrement sur son visage. Puis, comme si rien ne s'était passé, il leva la tête à nouveau, et scruta le ciel étoilé. La folie avait laissé sa place au penseur humain, le coté le plus posé de Kotei. Après tout, après la tempête... vient le calme.

Quand elle le vit bouger, elle sut que ses espoirs étaient vains. Elle ne saurait jamais se battre contre un homme. Elle était encore trop faible pour cela. En sentant le vent que fit la lame en s'approchant, elle perdit déjà son esprit combatif. Il était fort, c'était son métier de l'être. Alors, elle se résigna. Et en entendant sa voix dans son oreille, elle frissonna encore.

"Je sais que vous ne me tuerez pas. Ce ne serait pas dans votre avantage."

Alexia en était persuadée à 100%. Elle avait la désagréable impression de s'être faite avoir. Et cela l'énervait. Mais en voyant Kotei regarder les étoiles, elle n'arriva pas à lui en vouloir. Elle murmura même un bref :

"Désolée."

Elle ne savait même pas pourquoi elle voulait s'excuser. De toute manière, c'était lui qui aurait dû demander pardon. Mais elle avait cédé à la tension et s'était battue la première. Elle restait en cause.

"Pourquoi m'avez-vous provoquée?"

*Je ne serais jamais assez forte. Mon frère ne voudra jamais de moi. C'est ça qu'il me reproche. Ne pas être forte.*

[Voualaaaaa^^ Maintenant... Le caaaaalme... 'Tain, les scènes d'action, ça m'épuise x)]

Kotei, qui admirait les étoiles, baissa sa tête à nouveau, lentement comme à son habitude, puis fixa denouveau la concierge. Son regard était extraordinairement posé et son visage était neutre. Il en avait fait assez pour ajourd'hui, apparement. Il commencait à avoir un début de mal de tête, il posa alors sa main gauche sur son visage, le recouvrant de toute part, de même que le ferait un masque. Tenant son Daikatana, sa chère arme, dans sa main droite, il la porta en hauteur; puis retirant discretement la main de son visage, il posa à plat la lame fine et tranchante son arme sur la paume de sa main. Il ignora tout son entourage pendant quelque secondes, et avec le pouce, il commenca à toucher intimement la lame bien affûtée. "Je ne suis pas là pour tuer, ... J'ai beau admettre que je suis un fou potientiel, mais pas complètement. Il se trouve qu'il y a une large différence entre la folie elle-même - purement sadique et malveillante - et un esprit qui ne cherche qu'a assouvir son but le plus secret... N'est-ce-pas, ma chère?" pensait-il tout au fond de lui, une remarque qu'il aurait voulu faire comprendre, mais Kotei n'était pas du genre à partager ses pensées les plus folles. Puis soudainement notre homme commenca à ranger avec délicatesse son arme, comme une mère chérissant son bambin, la fixant avec attention dans son dos. Il avait jusqu'alors un visage étonnement sérieux et penseur, depuis un moment déjà, lorsque cette sensation de déchira à cause d'un petit sourire ténébreux qui s'afficha sur ses lèvres. Puis il recommenca à fixer la concierge, voyant qu'elle s'intéressait ... non, plutôt à découvrir certaines motivations de notre fou..

"Je ne peux expliquer les raisons de tout ceci, ma chère... cela serai bien trop simple de tout dire maintenant.", et il afficha un sourire de contentement tout en levant légerement la tête, mais cette fois-ci, un sourire qui avait l'air un peu plus adouci que tout les autres observés. Et il avait beau avoir du mal à l'avouer dans son âme, Kotei avait fait n'aître une forme d'interet envers la personalité de cette femme... en tout cas, il n'était pas près de la lâcher. Il lui tardait à nouveau de jouer à ce jeu vicieux de la manipulation avec elle, mais il laissa son esprit malin de coté pour se tourné, maintenant dos à la concierge. Puis il ramena sa main droite à son visage, tout en laissant ses yeux à découverts, penchant la tête an avant, essayant de scruter l'horizon assombris par l'obscurité dominante.

D'abord surprise par son explication, Alexia fit une mine renfrognée. Elle trouvait étonnant qu'après une petite lutte comme cela, il finisse aussi "las" d'apparence. Et après, elle remarqua qu'il caressait un peu son arme. Elle trouva cela bizarre.

*On aurait dit qu'il faisait l'amour à... ... Euh, non, rien, je la ferme, ok ><*

Elle leva la main, puis la tendit dans le vide. Elle hésitait à prendre l'épaule de Kotei. A vrai dire, maintenant, il l'intimidait vraiment. Puis, quand elle vit qu'il mit ses deux mains sur son visage, elle s'affola un peu.

"Vous pleurez?"

Elle lâcha sa batte puis passa devant lui, tout en prenant ses épaules. Elle se baissa - quoiqu'elle n'en eut pas besoin, étant plus petite - et regarda les yeux.

"Monsieur Mazoku?"

[Désolée pour le temps, je fais trente six mille choses à la fois x)]

Le visage de Kotei se plissa au moment où elle osa toucher ses épaules. Notre homme recula, les mains retirées du visage. Il ne pleurait pas, en fait - mais ses yeux étaient étonnement mouillés. Il fut assez surpris qu'elle le toucha, puis ensuite il se forma en lui une sorte de gêne, de honte, un peu comme s'il avait parut comme un frêle enfant ayant besoin d'être consollé, ce qui ne lui plut vraiment pas. Il voulait sortir quelques mots de bouche, mais il réflechissa à deux fois, et décida de ne rien dire, et pour une fois, de laisser passer ca. Il ressentait vraiment une honte si grande qu'elle paraissait presque limpide sur son visage. Kotei se reprit ses esprits et fixa la jeune concierge d'un étrange regard, un peu comme si la colère se mêlait à autre chose, peut être un peu de folie, de désespoir ou de tristesse. Les yeux grands ouverts, il plongea ses yeux des les siens.

"J-Je dois y aller.", dit-il, d'une fois assez perturbée et presque étouffée, puis il reprit avec assurance, "On se reverra surement plus tôt que vous ne pouvez le penser...", puis il esquissa un sourire secret, et tout en se courbant très légèrement, il prononca cette parole: "Demoiselle Kesselbach...", puis se retourna, et ne pensait qu'a partir, maintenant partir loin de là et se reposer... cette journée avait été unique, il se savait très bien, et il avait fait une grave erreur. Il avait osé montrer une cicatrice de son esprit, montrer sa faiblesse, et il se jura intérieurement que cela ne se reproduirai pas de si tôt. Mais ce qu'il savait surtout, c'est qu'il n'était pas pret d'oublier cette situation, cette rencontre. D'un air troublé il commenca à partir, mais toujours en employant une marche silencieuse propre à notre fou.

Elle le laissa partir. Après tout, elle n'avait pas le droit de le retenir. Mais elle avait été surprise quand elle avait vu les yeux mouillés, à un tel point elle poussa un petit cri de surprise. Elle n'imaginait pas voir ça si tôt sur son visage.

"Vous..."

Mais il parla plus vite qu'elle. Donc, elle l'écouta jusqu'au bout. Après l'entente de son nom, elle sortit de son état léthargique.

"J'espère bien qu'on se reverra!"

*Sinon, c'est moi qui vous cherchera. On verra bien si je ne suis qu'une pauvre âme qui ne demande qu'à vivre!*

Elle ne sût pas quoi dire d'autre. C'était la première fois qu'elle se battait avec un prof dans ce contexte. Une première...

[Si personne ne réponds, voici la fin x) Si vous voulez répondre, bah ignorez xD]

Encore sous le choc, elle sortit ses ailes, automatiquement, et commença à voler vers son bureau, réfléchissant encore à ce qu'elle devait faire.